Une sortie féminisé et en couche qui tourne mal.

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il y a 1 semaine

Mon problème c’est d’être timide. Je n’ose pas franchir le pas du réel. Alors je joue tout seul à la maison autour de mes fétichismes. Pour me punir de cette timidité, j’ai décidé de m’imposer d’être obligé de sortir de la maison avec des sous-vêtements féminins et en couche. Voilà donc le plan que je me suis fait en prenant des idées sur les forums de fessestivites.

Je cherchais un body short homme pour cacher ma couche quand j’ai trouvé une combinaison de mise en forme du corps d'été pour hommes. Avec son col rond et sa matière très élastique presque gainant, cela allait très bien cacher mes petits travers, mais aussi m’exciter de par la contrainte que j’allais m’imposer. Ce sous-vêtement a été le déclencheur.

Je suis donc allé cacher des clés d’un cadenas dans le petit bois se trouvant à la sortie du village. Rien que de cacher les clés en deux endroits différents me faisait transpirer de peur alors que j’étais vêtu normalement. C’est dire à quel point je suis timide.

Un dimanche soir, après avoir mis ma couche et une culotte en plastique, comme sous-vêtements féminins j’ai enfilé des collants noirs. Par dessus, j’ai passé une culotte rose à froufrous achetée sur ABCplaisir il y a très longtemps. C’était mon premier achat sur le net, le début de mes jeux autour de la féminisation. Un soutien-gorge inutile mais excitant est venu compléter ma tenue.

C’est là que j’ai enfilé le body short homme avec son col rond et sa matière très élastique presque gainant. Le miroir de la salle de bain m’a permis de constater que l’on voyait à peine le soutien-gorge. Avec un pull-over et mon manteau il ne se verrait pas.

Pour le bas, j’ai mis des chaussettes classiques et un pantalon que j’ai refermé avec une chaînette en guise de ceinture. Mes doigts tremblaient, mes mains étaient moites quand j’ai posé le cadenas en serrant la chaînette comme un malade. Le doute m’a arrêté au moment de le fermer. Fermer ce cadenas m’a pris du temps, non pas qu’il était dur, non, mais parce que j’étais confronté à ma timidité. Une fois fermé, je savais que je n’aurai pas d’autres choix que de sortir de chez moi pour aller chercher les clés.

Saloperie de cage de chasteté ! J’ai oublié de vous dire que je joue aussi avec la chasteté. J’avais mis ma cage de chasteté castrat car elle est courte et très compatible avec le port d’une couche. Les clés de la cage étaient dans le coffre électronique BDSM, chasteté ABDL ou selfbondage acheté en même temps sur ABCplaisir. J’avoue que j’ai eu plusieurs fois envie de casser le coffre pour récupérer les clés...

Pourquoi « saloperie de cage de chasteté » ? Parce que à ce moment là, une érection a commencé à pointer son nez. Certes dans le micro tube, elle n’allait pas pouvoir afficher sa fierté, mais elle m’a excité et .... et incité à fermer le cadenas sur la chaînette qui allait m’obliger à sortir de ma zone de confort.

Une fois fait, une fois auto piégé par mes bêtises de grand gamin immature malgré mes 30 ans, je me suis traité de tous les noms que la décence m’interdit d’écrire. J’étais donc piégé, j’allais devoir sortir de chez moi avec 1 des sous-vêtements féminins, 2 une couche et 3 ma cage de chasteté. Je n’étais jamais sorti de chez moi avec le 1, le 2 ou le 3. Là, j’allais devoir faire les trois en même temps. Quel C...

Pour me calmer et retarder l’heure fatidique, j’ai regardé un film à la télé en buvant une bière. Je n’ai rien compris au film, non pas qu’il était compliqué, non, mais parce que ma tête était ailleurs et bien souvent entre mes cuisses. Quand je mettais ma main devant mon pantalon, c’était Beyrouth, Nagasaki et Hiroshima en même temps dans la cage et la couche.

Il était 23 heures quand je me suis décidé à sortir de mon appartement. Par chance, je n’ai croisé personne dans l’immeuble car je transpirais à grosses gouttes de peur. Une fois dans la rue déserte, j’ai pris la direction du bois en marchant comme un voleur. Dix minutes plus tard, j’ai récupéré les clés du cadenas avec une sorte de fierté. J’avais osé sortir de chez moi en me disant que peut-être, un jour, j’oserai faire une rencontre ou aller au gîte fétichistes dont on dit tant de bien.

Sur le chemin du retour, j’ai regretté de ne pas avoir osé mettre un de mes plugs, cela aurait rajouté un plus dans mon délire. Étant un peu euphorique galvanisé par mon excès de courage et l’excitation, n’ayant croisé personne j’ai pris mon temps pour rentrer.

Et c’est là que l’enfer a commencé !

Arrivé dans ma rue, initialement assez sombre, il y avait beaucoup de lumières bleues qui tournent. Vous savez, celles qui annoncent les problèmes. En bas de mon immeuble, il y avait un camion de pompier, une ambulance et des voitures de police. A cette agitation c’étaient ajouté des badauds venus mater le cadavre sur le trottoir et des gens aux fenêtres. Question discrétion, j’étais mort, pas aussi mort que le mec étalé sur le trottoir mais presque.

« Nous n’irons plus au bois les lauriers sont coupés ». C’est cette chanson française, chantée pour la première fois à la Noël 1753 dans le jardin de l'hôtel d'Évreux, alors propriété de Madame de Pompadour offerte par Louis XV, qui m’est venue à l’esprit. Certes dans les paroles originales on ne parle de féminisation ni d’ABDL, ni de cage de chasteté ! Mais moi, j’ai regretté d’être allé au bois.

J’ai du attendre trois heures dans le froid avec les fesses serrées et un anus bien décidé à déposer le bilan, et le mien si vous voyez ce que je veux dire. Si j’ai tenu bon derrière, je n’ai pas tenu bon devant. En clair la bière a terminé son transit et j’ai fait mon premier pipi couche dans la rue. Que de premières n’est-ce pas pour un grand timide ?

C’est donc vers trois heures du matin que j’ai enfin pu regagner mon appartement. Me dévêtir après avoir retiré la chaînette me servant de ceinture a pris un certain temps. En effet, l’espèce d’idiot avait empilé les couches de vêtements pour s’obliger à se féminiser dans la durée. Après être allé aux toilettes et avoir pris une douche salutaire, j’ai du expliquer à « Popaul » qu’il allait devoir apprendre la patience car le coffre électronique BDSM, chasteté ABDL ou selfbondage acheté sur ABCplaisir restait intraitable. Il refusait de me rendre les clés de ma cage de chasteté pendant encore trois heures. Je l’avais programmé pour le week-end en prévoyant qu’il ne s’ouvrirait que cinq minutes avant que je parte travailler.

« Maure Alité » : Oui je sais, il y a une faute, mais retenez qu’il ne faut pas jouer self servitude ou selfbondage si un « maure » habitant juste au dessus de chez vous a en projet de jouer l’oiseau en se jetant du sixième étage.

Fin de cette histoire débile et totalement fictive écrite pour un ami timide.

TSM

A propos de wokisme et de pseudo ouverture d'esprit, est-ce que l'ABDL et le selfbondage entre dans leurs critères de ce qui est normal ? MDR c'était juste une provocation amusante mais vous pouvez répondre et donner votre avis.

bjr marc tres belle histoire
manque quelques photos pour pimenter le texte
Coucou titibebe Merci pour le compliment, nous ferons des photos quand tu viendras, promis !
Recit plein d humour, c'est ingenieux ce système de caché les clés 🔑. Merci 😊
Bravo pour ce très bon récit que j'ai trouvé, de manière surprenante,... excitant. Peut-être cela touche a des envies encore peu conscientisées... ;)
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